Les manuels de survie et le macaron devient radioactif et faisandé, cinq ans après le fiak politique et la pause humaine. On ose tout, comment les envoyer au charbon chargés de consignes. Tète de linotte au pouvoir, l'amateurisme patauge dans la marée noire normative. La vase et le naufrage est long.
Le contenant préoccupe, dévidé dedans et la croûte croule sous les lourds édifices avec l'abrutissement parpaing des souffles courts. Bosser pour un obus, opprobre à la pointeuse.
Qu'à cela ne Thinienne, j'ai le son de Lynott dans la tète. C'est le bassiste, principal compositeur et chanteur du groupe et « Baby face » galope (tiens donc). Mururoa, radioactif, faisandé et en plein nuage, les Thin Lizzy naissaient.
Piles plates et vêtements chauds à prévoir, frontale Barilla al dente et suppositoire ardent, c'est qui cette « Sarah » ?
Qu'ils aillent tous se faire braiser la rondelle avec les fascicules abrasifs d'urgence coûteuses, faut pas contracter, compote à la Biafine pour l'estomac.
Sous l'effet des sessions acoustiques à paraître, j'ai ressorti les albums du Lizzy. Lisier ce qu'ils veulent, je n'irai pas dans un bunker, ni dans le Dakota. Juste « Eire » de rien, voire « Dublin » en plein air, quoiqu'il arrive, sous un ciel incandescent sans manuel.
Thin Lizzy 1972 « Shades of a Blue Orphanage » 1971 « Thin Lizzy »
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