jeudi 30 décembre 2010

Nathaniel Rateliff



Nathaniel Rateliff n’est pas dans mon top 2010 et je pleure. Un poil en retard je découvre cette merveille depuis deux jours, quelques heures et déjà des airs lancinants me prennent toute l’attention. Remué à la première écoute, la deuxième est presque un rendez-vous réconfortant, comme on va chez un vieux pote pour trouver de la chaleur humaine.
Assez proche de Micah P.Hinson, l’effet coup de foudre de « In memory of loss » est à peu près le même que j’ai ressenti en 2005 à la découverte de Mattias Hellberg.
A coup sûr, à quelques jours prêt, Nathaniel Rateliff aurait gravit les échelons de mes charts à mains nues.
Nathaniel Rateliff 2010 "in memory of loss" label: rounder
quand on aime : giant sand; mattias hellberg; micah p ghinson, johnny cash

Aucun commentaire:

Clogs 2003

  Près du Butin ensablé, la Seine s’emmanche. Du laiteux mou s’engouffre dans l’albâtre. La Manche n‘a que faire de l’océan, ici le bras l&...